lundi 2 décembre 2019

ADENOMYOSE VESICULAIRE




ADENOMYOSE VESICULAIRE

Les tumeurs de la vésicule biliaire les plus fréquentes sont bénignes.
Devant une lésion focale, seules les symptomatiques ou de plus de 10 mm relèvent d’une indication de cholécystectomie.
Devant un épaississement pariétal étandu, une adénomyose doit être évoquée devant la présence d’artéfact en queue de comète en échographie. Parfois difficile à séparer d’une lésion maligne, l’IRM est parfois discriminante en cas de visualisation de l’image en collier de perle. Si le doute persiste, une écho-endoscopie peut être utile pour étudier la paroi vésiculaire.
C’est dans l’optique de vous aider et d’éradiquer complètement l’adénomyose que les experts en santé de dawabio après de multiples recherches vous proposes une solutions naturels a base de plantes médicinales pour soigner ce mal. Cliquer sur l’image ci-dessous pour découvrirce traitement naturel.


Remède naturel pour guérir de l’adénomyose
On parle d’adénomyose lorsque le tissu qui tapisse normalement l’utérus (l’
endomètre) se développe dans la paroi musculaire de l’utérus. L’adénomyose peut provoquer des crampes menstruelles, une pression abdominale basse et des ballonnements avant les règles et peut entraîner des règles abondantes. Elle est même responsable dans certains cas d’infertilité chez la femme. On rencontre le plus d’adénomyose chez des femmes ayant eu plusieurs enfants.
Si vous souffrez d’adénomyose et que vous désirez à tout prix évitez l’opération, vous êtes au bon endroit. Nous vous proposons ici un remède naturel fait à base de plantes médicinales très efficace pour guérir définitivement de l’adénomyose. Il est spécialement pensé pour les patientes qui n’ont pas envie d’avoir recours à la chirurgie, car chaque opération comporte un risque. Ce traitement naturel à base de plantes pour soigner l’adénomyose supprimera les douleurs que vous ressentez lors des règles et de vous permettra de vivre des cycles normaux. Il surpasse les traitements conventionnels qui soulagent la douleur, mais ne s’attaquent pas à la racine du mal. Comment ça marche?
Notre tisane contient des plantes qui réduisent le taux œstrogènes dans le sang. Cela permet de bloquer la prolifération et le saignement des lésions d’adénomyose. Ces plantes médicinales sont riches en antioxydant qui inhibe les enzymes qui mènent aux prostaglandines pro-inflammatoires. Ce sont des nutriments à forte dose anti-inflammatoire. Cela mettra définitivement fin aux douleurs que vous ressentez lors des règles. Nous savons que beaucoup d’entre vous se sont fait traités ou opérés d’adénomyose, mais que la douleur est revenue des années plus tard. Pas de paniques mesdames! Avec nous, pas de récidive, ni d’effets secondaires. Vous allez guérir définitivement de l’adénomyose.
Cette tisane naturelle facilite aussi les multiplications cellulaires relatives à la fertilité, à la croissance, à la cicatrisation, à l’immunité; à la synthèse et à la sécrétion de nombreuses hormones. Grace a ces plantes médicinales, vous allez éviter les fausses couches. C’est le secret de la nature pour guérir de l’adénomyose et tomber enceinte rapidement.
Notre remède naturel pour soigner l’adénomyose donne très souvent des résultats positifs et agis significativement sur la diminution des douleurs ressenties. Elle a un taux d’efficacité de 98%. Faite nous confiance mesdames et vous allez tomber enceinte une foi de plus.
Résumé sur l’adénomyose vésiculaire :
L’adénomyose (ADM) vésiculaire est une anomalie bénigne, acquise, caractérisée par une hypertrophie de la muqueuse s’invaginant au sein d’une musculeuse épaissie (sinus de Rokitansky-Aschoff). Il existe trois formes d’ADM : segmentaire, fungique et plus rarement diffuse. L’étiopathogénie est mal connue mais une inflammation vésiculaire chronique est nécessaire. Sa prévalence sur pièce de cholécystectomie est estimée entre 1 et 9 % avec une sex-ratio équilibrée et une incidence qui augmente après 50 ans. L’ADM, le plus souvent asymptomatique, peut se manifester par des douleurs abdominales aspécifiques ou de type colique hépatique, même en l’absence de lithiase vésiculaire associée (50 à 90 % des cas). L’ADM peut aussi se révéler par une crise de cholécystite a lithiasique. Le diagnostic repose principalement sur l’échographie qui identifie des images pseudokystiques interpariétales et des artéfacts en « queue de comète ». L’IRM avec séquences de bili-IRM constitue l’examen de référence avec des images caractéristiques en « collier de perles ». Une ADM symptomatique constitue une indication de cholécystectomie qui permet une disparition complète des symptômes. Une ADM asymptomatique ne constitue pas une indication opératoire mais le diagnostic radiologique doit alors être formel. En cas de doute diagnostique, notamment avec un cancer vésiculaire, une cholécystectomie est justifiée. La découverte d’une ADM sur pièce de cholécystectomie ne justifie pas de surveillance particulière.
Lésions de la paroi vésiculaire
L’adénomyose vésiculaire est une lésion acquise d’hyperplasie de la paroi vésiculaire caractérisée par une prolifération excessive de l’épithélium surfacique qui s’invagine au sein d’une couche musculeuse externe nettement épaissie. La prévalence de l’adénomyose est importante, probablement comprise entre 3 et5 %, avec une prédominance féminine. L’invagination de la muqueuse crée des cavités, appelées « sinus de Rokitansky-Aschoff », qui sont retrouvées dans 90 % des pièces de cholécystectomie; on parle d’adénomyose lorsque ces sinus sont profonds, communicants, créant de véritables cavités « kystiques » et qu’ils s’associent à un épaississement important de la couche musculeuse .L’épaisseur globale de la paroi dépasse souvent 10 mm .La pathogénie de l’adénomyose n’est pas clairement établie à ce jour ; des théories basées sur un processus inflammatoire chronique, une obstruction chronique par lithiase ou une anomalie de la jonction bilio-pancréatique ont été avancées. L’association adénomyose-cancer vésiculaire a longtemps été discutée sans qu’il soit possible d’affirmer le caractère « précancéreux » de l’adénomyose. En pratique, donc, la découverte d’une adénomyose vésiculaire chez un sujet asymptomatique entraîne l’abstention thérapeutique.
L’adénomyose peut intéresser l’ensemble de la vésicule ou plus fréquemment être localisée au fond vésiculaire. Il existe d’autres formes d’atteinte segmentaire, plus rares, intéressant la partie moyenne de la vésicule, pouvant réaliser un véritable diaphragme avec déformation en« sablier ».
Cliniquement, l’adénomyose ne se traduit par aucun symptôme spécifique. Des douleurs d’origine biliaire sont fréquemment rapportées mais elles sont liées à la présence d’authentiques calculs biliaires retrouvés dans 60 % des pièces de cholécystectomie présentant des lésions d’adénomyose. Exceptionnellement, une symptomatologie biliaire associée à une adénomyomatose vésiculaire peut être observée en l’absence de tout calcul biliaire et être améliorée par la cholécystectomie.
En imagerie, l’adénomyomatose a un aspect spécifique qu’il convient de bien connaître, mais il existe de nombreuses formes de présentation dont certaines posent des problèmes de diagnostic différentiel avec la pathologie tumorale ou inflammatoire ; l’interprétation de l’imagerie est dans ce cas plus que jamais indissociable de la présentation clinique. En pratique courante, le diagnostic radiologique d’adénomyose est encore trop souvent source d’erreurs. Il repose avant tout sur l’échographie mais la TDM et l’IRM sont parfois utiles au diagnostic.
En échographie, l’adénomyose se traduit par un épaississement pariétal segmentaire ou diffus au sein du que l’on met en évidence : 
 De petites formations an écho gènes  correspondant aux sinus de Rokitansky-Aschoffdilatés,
 De petits spots hyper écho gènes et des images d’artefacts de réverbération ou images en « queue de comète », correspondant au piège âge du faisceau ultrasonore au sein d’un sinus dilaté; en pratique,
 Ce dernier signe est le plus important à rechercher car sa spécificité pour le diagnostic d’adénomyose est élevée; il ne devra pas être confondu avec un artefact de réverbération secondaire à la présence d’air au sein de la paroi vésiculaire dans le cadre d’une cholécystite emphysémateuse dont la présentation clinique sera nettement différente.
En TDM
En TDM, l’adénomyose se traduit de même par un épaississement pariétal segmentaire ou diffus ; cet épaississement est souvent interprété à tort comme un signe en faveur d’un cancer ou d’une cholécystite. La présence de kystes au sein de l’épaississement est un élément important en faveur du diagnostic mais pour lequel la TDM a une rentabilité diagnostique médiocre en comparaison de l’échographie mais surtout de l’IRM. La présence de calcifications de petite taille au sein de cet épaississement, correspondant à des calculs développés au sein de sinus de Rokitansky-Aschoff dilatés, est évocatrice du diagnostic.
En IRM
En IRM, l’aspect classique de l’adénomyose consiste en la présence de multiples images d’additions de signal liquidien au sein d’une paroi vésiculaire épaissie. Cet aspect est particulièrement bien démontré sur les séquences de chol angio-IRM. Les images kystiques intra pariétales sont le plus souvent en hypo signal T1 et en franc hyper signal T2 mais peuvent apparaître en hyper signal T1 du fait d’un contenu fait de débris ou d’une bile épaisse.
Conclusion :
Une étude ayant comparé la précision diagnostique des trois techniques d’imagerie pour établir le diagnostic d’adénomyose vésiculaire a montré une supériorité significative de l’IRM (93 %) vs 75 % et 66% respectivement pour la TDM et l’échographie. En pratique, le diagnostic d’adénomyose vésiculaire continue le plus souvent à être évoqué et démontré en échographie et en cas de doute diagnostique l’IRM est l’examen à réaliser en complément. Lorsque le diagnostic est établi par l’imagerie avec une présentation morphologique typique et une clinique en rapport, la surveillance par imagerie n’est pas recommandée. En cas de doute (présentation morphologique non typique et/ou clinique discordante), il est   recourir d’emblée à la chirurgie pour ne pas laisser évoluer un cancer vésiculaire que d’instituer une surveillance échographique ou IRM.


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