jeudi 21 novembre 2019

Diabète héréditaire






Diabète héréditaire

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Le diabète est une maladie chronique qui ne se guérit pas, mais que l’on peut traiter. Il est causé par un manque ou un défaut d’utilisation d’une hormone appelée insuline, ou bien les deux.
L’insuline est produite par le pancréas. Elle permet au glucose (sucre) d’entrer dans les cellules du corps pour qu’il soit utilisé comme source d’énergie. Chez une personne qui n’a pas le diabète, l’insuline remplit bien son rôle et les cellules disposent de l’énergie dont elles ont besoin pour fonctionner.
Lorsqu’il manque d’insuline ou qu’elle n’accomplit pas sa fonction de façon efficace, comme c’est le cas chez une personne qui vit avec le diabète, le glucose ne peut pas servir de carburant aux cellules. Il s’accumule alors dans le sang et entraîne une augmentation du taux de sucre, c’est-à-dire une hyperglycémie.
À la longue, un taux de sucre élevé dans le sang entraîne certaines complications, notamment au niveau des yeux, des reins, des nerfs, du cœur et des vaisseaux sanguins.
Il existe différents types de diabète soit le pré diabète, le diabète de type 1, de type 2, le diabète de grossesse et d’autres types plus rares.

Comme le souligne l’association française des diabétiques (AFD), « le diabète est aussi une histoire de famille ». En effet, l’hérédité est un des facteurs de risque principal du diabète de type 2. Le risque pour une personne possédant un parent diabétique de développer un diabète de type 2 est de 40%, et de 70% si deux parents sont diabétiques.

Le caractère héréditaire de la maladie est indiscutable. Cependant, tous les mécanismes et les gènes impliqués ne sont pas encore connus et il semblerait que le caractère héréditaire de la maladie ne soit pas lié à un seul gène mais à une multitude de gènes. N’empêche qu’un traitement a base de plante existe pour éradiquer ce mal.Voici le traitement naturel des experts de Dawasanté contre le diabète. Cliquer sur ici pour découvrir ce traitement

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L’HÉRÉDITÉ : UN FACTEUR DE RISQUE MÉCONNU
Le  diabète de type 1 (autrefois appelé diabète insulino-dépendant) est purement héréditaire. Il est dû à l'insuffisance voire l'absence de sécrétion d'insuline par le pancréas, une hormone indispensable au contrôle du taux de sucre dans le sang. Ce type de diabète reste toutefois très minoritaire, et ne représente que 10 % des cas.
Le diabète de type 1 survient lorsque le système immunitaire de l'organisme attaque et détruit les cellules du pancréas qui fabriquent l'insuline, une hormone qui aide à transporter le glucose (sucre) dans vos cellules et qui est utilisée pour produire de l'énergie. Il en résulte une hyperglycémie lorsque le taux de glucose dans le sang est trop élevé.
Les personnes atteintes de diabète de type 1 doivent prendre des injections pour remplacer l'insuline que leur corps ne fabrique pas, ainsi que pour surveiller leur glycémie tous les jours. Cette maladie touche environ 5% des quelque 30,3 millions de personnes atteintes de diabète aux États-Unis.
Cette forme de diabète apparaît généralement dans l’enfance ou au début de l’âge adulte, raison pour laquelle elle était auparavant connue sous le nom de diabète juvénile. Mais cela peut arriver à tout âge. Les autoanticorps qui attaquent la cellule bêta productrice d’insuline peuvent rester dans le sang pendant des années avant que le diagnostic ne soit posé.
Pourtant, la présence de ces auto-anticorps ne garantit pas qu'une personne développera le trouble. «Nous connaissons certains des autoanticorps impliqués dans l'attaque du pancréas et nous pouvons les rechercher, mais certains patients présentent des autoanticorps positifs et ne développent jamais de diabète de type 1», explique Joshua D. Miller, MD , directeur médical du diabète. Soins à la médecine Stony Brook à Stony Brook, New York.
Aux États-Unis, le taux de diabète de type 1 est plus élevé chez les Blancs que chez les autres groupes raciaux et ethniques. Il en va de même pour les populations du monde entier qui vivent dans des climats froids et nordiques. En outre, le diabète de type 1 est plus susceptible de se produire en hiver. Le fait qu'il soit également provoqué par des infections virales, telles que la rougeole allemande, le virus Coxsackie et les oreillons, peut être lié à la prévalence hivernale - plus de temps passé à l'intérieur, où les infections se propagent plus facilement. Des études ont montré qu'il existait un lien entre l'allaitement au sein et la diminution du risque de diabète de type 1.
Comme mentionné précédemment, le diabète de type 1 est une maladie auto-immune. Il s'avère que les personnes atteintes présentent un risque plus élevé de développer également d'autres maladies auto-immunes, telles que la maladie de Graves , la thyroïdite de Hashimoto , la maladie cœliaque et l' anémie pernicieuse .
Bien que les personnes ayant des antécédents familiaux de diabète de type 1 puissent être prédisposées à le développer, le schéma d’héritage dans la plupart des cas n’est pas clair.

En effet, la majorité des diabétiques souffrent du  diabète de type 2 (autrefois appelé diabète non-insulino-dépendant). Il s'agit dans ce cas d'une résistance de l'organisme à l'action de l'insuline, qui perd donc de son efficacité, couplée à une baisse de la production de cette hormone.
Alors que le diabète de type 1 apparaît pendant l'enfance ou l'adolescence, le diabète de type 2 survient plutôt après 40 ans. On assiste toutefois depuis plusieurs années à un rajeunissement des personnes atteintes. L'hygiène de vie, et particulièrement l'alimentation trop grasse, trop sucrée et la  sédentarité, est pointée du doigt par les médecins.. 
Toutefois, le fait de posséder un parent diabétique de type 2 n’implique pas nécessairement le développement de la maladie. On parle ainsi de prédisposition génétique, liée à la mutation de certains gènes. La présence d’une mutation n’implique pas obligatoirement le développement d’un diabète de type 2 et inversement, le développement de la maladie n’est pas synonyme de la présence d’une mutation. L'environnement et le mode de vie du patient influence également fortement le risque de développer la maladie.

Le diabète est donc associé à un ensemble de facteurs de risque. Les complications graves liées au diabète, tels que la cécité, les risques d’amputation ou encore les complications cardiovasculaires, justifient la mise en place de campagnes de prévention et une prise en charge précoce de la maladie.

L’association de plusieurs facteurs de risques nécessite une consultation médicale. Dans un premier temps, il est essentiel d’évaluer cinq critères :

- Âge supérieur à 40 ans ;
- Existence d’antécédents familiaux ;
- Indice de Masse Corporelle (IMC) supérieur à 25 ;
- Taux sanguin de glucose anormalement élevé ;
- Absence d’activité physique.


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